- EAN13
- 9782234089198
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 27/04/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Stock 19,00
Il a cartographié les montagnes et les plaines des Balkans pendant six années.
Il est parti chercher la source du Nil en 1860, bien avant David Livingstone.
Il a été légèrement diplomate sur la mer Rouge, a poussé une mission de
reconnaissance jusqu’aux contreforts de l’Himalaya sur les traces d’Alexandre
Le Grand et de Marco Polo. Guillaume Lejean, né Guillaume Jean dans le
Finistère en 1824, a passé son adolescence à vagabonder en Bretagne avant de
devenir journaliste à Paris, puis cartographe réputé (il était membre de la
Société de géographie, admiré par Jules Verne ou Napoléon III). Mais,
touche-à-tout et désordonné, il est mort à 47 ans avant d’avoir eu le temps de
terminer la plupart de ses travaux.
L’écrivain Guillaume Jan, son presque homonyme, découvre une ribambelle de
points communs avec cet aïeul rêveur, libre, brillant et sauvage. Les deux
hommes ont grandi dans la même extrémité de la Bretagne, ils ont le même
tempérament, les mêmes ambitions. La même humeur vagabonde les a conduits aux
mêmes endroits sur la carte du monde : le hasard de leurs voyages les a fait
dormir dans les mêmes criques au bord de l’Adriatique, longer les mêmes
rivières en Bretagne, en Bulgarie ou en Perse, et une même passion pour
l’Afrique les anime. Avec sa plume fluide, jamais dénuée d’humour, Guillaume
Jan enquête sur cet ancêtre idéal. Et mesure à quel point le monde a changé
entre le XIXe siècle pré-colonial et le XXIe post covid – entre une époque
où tout paraissait possible grâce au progrès et une autre qui redoute chaque
prochain cataclysme.
Il est parti chercher la source du Nil en 1860, bien avant David Livingstone.
Il a été légèrement diplomate sur la mer Rouge, a poussé une mission de
reconnaissance jusqu’aux contreforts de l’Himalaya sur les traces d’Alexandre
Le Grand et de Marco Polo. Guillaume Lejean, né Guillaume Jean dans le
Finistère en 1824, a passé son adolescence à vagabonder en Bretagne avant de
devenir journaliste à Paris, puis cartographe réputé (il était membre de la
Société de géographie, admiré par Jules Verne ou Napoléon III). Mais,
touche-à-tout et désordonné, il est mort à 47 ans avant d’avoir eu le temps de
terminer la plupart de ses travaux.
L’écrivain Guillaume Jan, son presque homonyme, découvre une ribambelle de
points communs avec cet aïeul rêveur, libre, brillant et sauvage. Les deux
hommes ont grandi dans la même extrémité de la Bretagne, ils ont le même
tempérament, les mêmes ambitions. La même humeur vagabonde les a conduits aux
mêmes endroits sur la carte du monde : le hasard de leurs voyages les a fait
dormir dans les mêmes criques au bord de l’Adriatique, longer les mêmes
rivières en Bretagne, en Bulgarie ou en Perse, et une même passion pour
l’Afrique les anime. Avec sa plume fluide, jamais dénuée d’humour, Guillaume
Jan enquête sur cet ancêtre idéal. Et mesure à quel point le monde a changé
entre le XIXe siècle pré-colonial et le XXIe post covid – entre une époque
où tout paraissait possible grâce au progrès et une autre qui redoute chaque
prochain cataclysme.
S'identifier pour envoyer des commentaires.